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lundi 31 mai 2010

L'Oraison par Toeplitz à St Merri


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Vendredi 4 Juin Eglise St Merri -76 rue de la Verrerie
le trio laptop Kernel
joue "Kernel#2" (KTToeplitz) & "Oraison" (O. Messiaen)

Entrée libre !

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mardi 15 septembre 2009







_ KERNEL, ensemble d’électronique live (Abecassis/Toeplitz/Wendling) _

2 nouveaux enregistrements de KERNEL sont dispos :

_ DR, comprenant Dust Reconstruction, de K.T. Toeplitz, et Drowning report, d’E. Abecassis.
_ Kernel#2, la toute première pièce de l’ensemble, dans une nouvelle interprétation.

http://www.sleazeart.com/rosa.html

“Le contemporain est celui qui fixe le regard sur son temps pour en percevoir non les lumières, mais l’obscurité.”
Giorgio Agamben, Qu’est-ce que le contemporain?

jeudi 2 juillet 2009

Rainforest IV in London


Les 3 & 4 juillet 2009
Area 10 Project Space, Londres



KASPER T TOEPLITZ. participera, les 3 & 4 juillet, à la re-création du mythique Rainforest IV de David Tudor (1973), avec : A. Antoniou, J. Bower, P. Julian, R. Ikeshiro, D. Leroy, J. Ottavi, J. Pickett, D. Ravenhall, D. Scarfe, J.B. Thiébaut, C. Weaver, et A. Weddon.

Rainforest a connu plusieurs versions, et, de l'une à l'autre, c'est l'instrument de musique qui devient installation.
Une première version de 1968, composée pour Merce Cunningham, reliait en effet des transducteurs audio (micro-contacts) à de minuscules objets,
ceux-ci devenant donc des résonateurs pour les signaux sonores, les dotant d'une "voix" (c'est le mot de Tudor) spécifique.
C'est une "écologie électronique" qui marie avec humour le bricolage primitif à la plus grande sophistication.
Dans une version de 1976, chaque circuit réagissait au vent et aux variations de lumière et de température.
Et on pouvait même jouer aux ultrasons et transposer les vibrations en un champ audible pour l'enregistrement ou l'amplification.
Or, dans Rainforest IV, ces objets ont grandi, au point d'avoir "leur propre présence dans l'espace",
et ils sont activés par des signaux d’entrée vocaux,
si bien que Tudor peut décrire cette quatrième version comme "une oeuvre environnementale" :
du plafond pendent des tonneaux, bouteilles de gaz et autres tuyaux d'arrosage.
"La compréhension du son comme une chose matérielle".
La frontière devient poreuse entre l'installation et le happening,
voire tout simplement entre l'installation et une conception quelque peu étendue du concert.
C'est d'ailleurs précisément à cette limite qu’a travaillé David Tudor dans Rainforest.

P. Szendy et J-P. Leonardini (cités par Jérôme Joy)
http://www.facebook.com/event.php?eid=100376897482
http://www.sleazeart.com/